Du lundi 7 au jeudi 10 novembre 2005, au CIAS, à
l’Observatoire de Meudon.
Les animateurs et quelques personnes motivées présenteraient les problèmes choisis, quelques simulations, et des résultats préliminaires. Ces résultats pourraient être discutés pendant l’atelier. Les participants feraient alors des propositions, tenant compte de leurs moyens de calcul, des codes à disposition, et de leur savoir faire. Une sorte de petit réseau de travail devrait s’établir, avec en perspective, l’obtention de résultats scientifiquement originaux et publiables.
J’ai joint des liens vers quelques articles (en pdf) concernant les sujets que nous aborderons. Il peut être intéressant de les lire, ou du moins de venir avec, au cas où on en discuterait. Vous pouvez en proposer d’autres.
Exposé introductif présenté par Pierre-Louis Sulem.
Proposition pour l’atelier (rappel) : faire des simulations, comparer les résultats entre les simulations venant des différents codes, à la lumière des différentes théories, en discuter. Voir si l’on peut formaliser une sorte de benchmark.
Suggestions de lecture : vasquez_JGR_1995.pdf Bugnon_npg_2004.pdf
Exposé introductif : Thomas Chust (équations de fermeture avec une distribution quelconque) et Thierry Passot (prise en compte des résonances Alfvéniques).
Proposition pour l’atelier : Pour ceux qui ont un code de type fluide ou hybride : réfléchir comment intégrer de telles équations dans leur code, et faire des essais (par exemple sur le problème de l’instabilité decay d’une onde d’Alfvén mentionné ci-dessus). Pour ceux qui ont un code de type cinétique : sortir en diagnostic le tenseur de pression, et le comparer, pour un problème donné, aux équations de fermeture.
Suggestions de lecture : passot_PhPl_2004.pdf
Suggestions de lecture : passot_PhPl_2003.pdf alexandrova_JGR_2003.pdf chust_PPS_2005
Exposé introductif : Fabrice Mottez
Proposition pour l’atelier : Discuter des questions suivantes, éventuellement préparer des simulations numériques qui aideraient à y répondre :
L’accélération par des ondes d’Alfvén vue à grande échelle aurait-elle des applications dans des systèmes de taille plus restreinte, ce qui les rendrait apte à des simulations cinétiques permettrant une comparaisons entre les modèles MHD et des modèles cinétiques ou semi-cinétiques.
Que se passe-t-il au niveau de la microphysique (processus cinétiques) dans le vent solaire ?
Quel genre de mécanismes d’accélération Alfvénique peut-on envisager dans l’environnement des planètes géantes ?
Suggestions de lecture : grappin_JGR_2002.pdf genot_AG_2004.pdf
Remarque générale
les frontières entre ces quatre sujets ne sont pas étanches.